Cariocas no Canadá

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segunda-feira, 7 de dezembro de 2009

Yes! aquí também tem baratas!! (cuidado ao alugar sem ver)


E eu tao inocente pensando que aquí nao tinha baratas...pobre de mim!!
Sempre me lembro do filme Day After que mostra no fim a destruicao total e as baratas lá..firmes e fortes!!! Caraca gente,odeio baratas!!!! do fundo do meu coraçao!!!

Acabei de ver a seguinte manchete :baratas e ratos em 80 aptºs de NDG ...imaginem isso! nao vao pensar que o bairro todo tem baratas,tá ? se trata de um prédio de um determinado proprietário que nao é chegado em higiene,já velho conhecido do inspetor...

Vejam a reportagem toda e tirem suas conclusoes sobre alugar a distancia ainda do Brasil..

Pra quem nao sabe,''coquerelles'' sao elas,as baratas !!

E fujam desse proprietário:M.Sebag!

DANS CÔTE-DES-NEIGES

80 logements au milieu des coquerelles et des rats

07/12/2009 17h39

« J’ai deux enfants et j’ai peur pour notre santé mentale, parce que tout ça est en train de nous rendre fou », déplore Kumar Thurai, qui demeure dans l’édifice depuis six mois.
Photo: Jean-Philippe Arcand
Des murs crasseux et moisis, des coquerelles et des rats qui sillonnent les couloirs. C’est dans un tel musée des horreurs que les locataires du 4855 de la rue Vézina, à Montréal, doivent vivre au quotidien et ce, sans que le propriétaire des lieux, Robert Sebag, ne daigne lever le petit doigt pour remédier à la situation.

En entrant dans le bâtiment de 80 logements, situé dans l’arrondissement Côte-des-Neiges, on est aussitôt pris d’un malaise transcendant. À peine a-t-on passé l’inquiétant hall d’entrée qu’on est tout de suite plongés dans un nuage pestilentiel, gracieuseté des sacs à ordures empilés les uns sur les autres à proximité. On a carrément l’impression de mettre les pieds dans un dépotoir.

« J’ai deux enfants et j’ai peur pour notre santé mentale, parce que tout ça est en train de nous rendre fou », déplore Kumar Thurai, qui demeure dans l’édifice depuis six mois.

Devant une telle situation, d’autres résidents ne savent tout simplement plus à quel saint se vouer. « On ne croit plus à rien. On a beaucoup souffert. Je ne peux même pas prendre ma douche », laisse tomber Maximus Sangarayer.

Dossier connu

Rencontré par hasard sur les lieux, un inspecteur de la Ville de Montréal, Salah Benlabed, a confié suivre le dossier de l’édifice depuis maintenant cinq ans.

« Des fois ça s’améliore, mais ça finit toujours par revenir », indique-t-il, tout en signalant que le problème se répète dans les autres propriétés de M. Sebag, connu comme un récidiviste de l’insalubrité.

M. Benlabed a par ailleurs indiqué qu’un organisme coopératif, chapeauté par la Ville, était en train de faire des démarches pour acquérir l’immeuble. « Ça devrait être réglé d’ici la fin de l’année et ce sera une excellent nouvelle », dit-il.

24H a tenté sans succès de rejoindre Robert Sebag.

jeanphilippe.arcand@24-heures.ca

4 comentários:

  1. Que horror!!

    Espero nao ter que ficar em um AP com o estado do chão parecido com esse!! nossa.. tava na cara que alguma coisa de errado ia ter!!

    Abraços!!

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  2. Eu tenho verdadeiro horror a barata!!! Só de ler isso fiquei agoniada!

    E não tem jeito, barata e rato, tem em todo lugar, principalmente em cidade grande!
    Tem que abrir o olho na hora de alugar mesmo.
    :D

    Abçs,

    Lely

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  3. Por isso insisto em dizer pra cuidarem bem do que pretendem alugar sem ver,nunca sabemos o que teremos que conviver depois.

    Mas que ''bichinho'' persistente esse gente,nao tem frio que espante? queria ver no polo norte se elas viveriam...

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  4. Eca!!! Odeio baratas!! Principalmente aquelas voadoras... que nojo...

    M. Sebag já está na minha lista negra de potenciais locadores... que horror...

    Obrigada pelo post de utilidade pública!!

    Bjs

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A melhor resposta à calúnia é o silêncio. (Ben Jonson)